Les Portes de la ville

La magnifique dame Setsuka arriva enfin au porte de Asahikawa mais un guarde la refusa d'entrée.

Désoler Madame mais vous n'êtes pas d'ici alors allez-vous en!

Désoler pour vous mais je suis ici pour une mission de haute importance pour votre clan et le mien si vous ne me laisser pas entrer votre peuple et le mein pourrais en payer de grave conséquence faites moi voir Kentâro d'urgence

Je vous est dit non madame allez-vous donc comprendre. NON!Vous n'entrerer point.

((H.J.)Désoler j,ai pas le bouton pour sur mon clavier)

Sanada venez juste d’arriver au porte du clan pour sa mission de rapporter du saké mais en voyant la situation de dame setsuka, Sanada intervint :

-"Et moi je vous dit que vous allez la laisser passer. Bonjour dame setsuka ce garde vous cause t-il d’autre problème que ce de la parole ?"

[HJ: Le multi-poste, je le rappelle, est autorisé. Sanada peut se trouver où il veut.]

Les deux gardes ne bronchent pas. Ils vous barrent littérallement le passage de leur longues lances.

"Nous avons ordre de ne laisser passer aucun membre étranger au clan. Rebroussez chemin !"

''Désoler mon cher mais je dois y pénétrer pour une mission de la plus haute importance je dois voir Kentâro seul à seul.Svp je vous en pris.''

"Les ordres sont les ordres. Vous ne passerez pas. Vous pouvez toujours lui faire parvenir un mot par ma personne, mais vous n'avez pas la permission de poser le pied dans cette ville."

Aucun des gardes ne bouge.

Hey bien trouver le car je ne bougerai paset je crois que votre peuple ne sera pas très ravi d'apprendre que je vien pour payer les arme que vous avez envoyé.Mais je ddois lui remettre en main propre.

Le garde disparait un instant. L'autre se déplace pour se mettre au devant même des chevaux.

Quelques minutes plus tard, il revient accompagné d'un homme en robe longue. C'est un conseiller qui te dit, après s'être incliné, qu'il prendra la somme d'argent comptant à la place de son Chef, et l'enregistrera automatiquement dans le registre des comptes, puisque tel est son travail.
Il te tend les bras pour récupérer le récéptacle dans lequel tu y as placé l'argent.

Quoi!Un conseillé j'ai dit que je vais lui remettre en main propre car j'ai un message à lui communiquer et personne ne dois le lire aloirs j'ai pas envie que vous le liser.

Elle tape du pied et appele une servente pour faire une campement et les lits.

Vous aller bien par finir par ouvrir à la reine de Dazaifu.

Malgré la colère de Dame Setsuka, ni les gardes, ni le conseiller ne bougent...
Les gardiens de la ville replacent leurs lances en croix, et un se permet de murmurer:

"Les ordres sont les ordres..."

Hey bien ou se trouve votre chef que j'aille lui parler moi même.

Et puis elle parla à sa servente si sa ne marche pas nous appelerons les geïsha.Puis elle esseya de faire reluire sa beauté au maximum et faisant voler ses cheveux dans le vent.

Taki!ordonna t'elle.Apporte moi une robe pour que je me change, la plus belle.Et la servente exécuta l'ordreTous de suite ma Seigneurie.Répondi t'elle pour la calmer avec une tasse de thé vert dans les mains.

Le garde ne sait que répondre. Il regarde le conseiller. Celui-çi lève haut sa tête, et fixe Setsuka dans ses yeux.

"Nous n'en avons aucune idée ! Il est partit en voyage. Je vous prie, Dame, de laisser le passage des portes libre, et de vous en retourner chez vous."

Sur la route principale qui menait du port en contrebas à la ville d'Asahikawa, de nombreuses personnes se bousculent; des marchands tirant leurs charettes, des voyageurs, des moines shinto et des bushi, errant ou servant ...
Sur cette route, se trouvait un homme d'environ une vingtaine d'année, vétue tout de rouge sang, portant son katana vivant à la ceinture, ses cheveux noirs de jais noués en queue de cheval à cause de la chaleur ... il marchait, tenant son cheval par la bride, le visage légèrement barbouillé par la poussière de la route, il se présenta au poste de contrôle à l'entrée d'Asahikawa là ou une femme élégament vétue rouspetait après un garde ...

-" Bonjour" dit-il simplement au garde près de la barrière " je voudrais passer pour rentrer dans la ville ... "

Toujours le même garde qui parlait depuis le début se tourna vers le nouvel arrivant. Il inclina légèrement la tête.

"Désolé, mais nous avons pour ordre de ne laisser entrer personne dans la ville. Nous subissons actuellement quelques troubles qui nécessite ce régime protectioniste."

Bon et bien parton Vien Taki.Tous de suite ma seigneurie.

Elle espérait trouver Kentâro plus loin dans c'est terre

Takeo toisa le garde ennuyé, puis lui lança d'une voix moqueuse :

-" Tiens donc ? et ais-je une apparence de fauteur de trouble ? et puis ... quels sont ces troubles en questions ? "

Takeo mit la main imperceptiblement au manche de son katana "Jatô" et commença à le caresser distraitement sans signes de menaces ...

"Ces troubles sont confidentiels et ne concernent que les membres du Clan Asahikawa... Je ne peux répondre à vos questions."

Le garde ne regardait pas directement Takeo, mais un peu au dessus de son épaule. Le conseiller, ayant finit son rôle, repartit pour laisser les gardiens se débrouiller seul. L'autre garde paru soulagé de voir repartir la Dame Setsuka...

-" Eh bien, j'ai quand même envie de rentrer, m'en voudrais vous si je forçais le passage ? " dit-il d'un air amusé au garde

Puis, il se tourna la tête vers la femme richement vêtue qui s'en allait et l'interpela de loin :

-" Mademoiselle, vous vouliez rentré ? "

Et se tourna de nouveaux vers le garde qu'il le dominait de sa stature et lui dit d'une voix calme mais sérieux tout en soupesant sa bourse de ryo de façon a ce que celui-ci la voye clairement et entende son tintement :

-" Allons soyez sage ... nous n'avons pas l'air de fauteur de troubles laissez-nous rentrer "

"Il ne sert à rien d'insister. Les ordres sont des lois. Vous êtes tenus de les respecter sur le territoire d'Asahikawa. Reculez maintenant."

À cause de la persitance de Takeo, les gardes abaissent leur lances et les pointes à quelques centimètres du torse du Bushi.

"Ne nous forcez pas à commettre l'irréparable."

-" Eh bien faites-le si cela vous chante ... " lança froidement Takeo en regardant d'un air glacial et sérieux à l'adresse du garde

Il y eût un flottement dans l'air, et Takeo déclara d'un air serein mais froid :

-"Faut-il forcément en venir aux armes ... "

"C'est à vous de voir... Si vous ne vous retournez pas d'où vous venez !"

Le garde qui parlait commencait à être à bout de nerfs: cela se voyait sur sa lance qui tremblait quelque peu... De plus, il n'arrêtait pas de lancer des regards à son coéquipier...

-" Tsss ... ce combat serait inintéréssant ... je m'en vais ... " lança t-il avec un sourire narquois puis rajoutant : " Tu trembles trop, je te tuerais dès les premiers coups si je sortait ne serait-ce que mon sabre court "

Il tourna le dos tranquillement et ôta la main du fourreau de son sabre et fît mine de partir ...

-" Tss j'entrerais bien en escaladant le mur de ce côté " lança t-il d'une voix assez forte pour que le garde l'entende pour le provoquer ...

Il était d'apparence calme et détendu, mais en réalitée il se tenait prêt à dégainer son sabre et tué le garde en une fraction de seconde ...

Désoler mon cher mais je n'insisterer pas d'avantage je vais aller ailleur même si vous êtes très mignon mon cher Takeo sa ne changeras rien je suis la femme la plus belle et la plus riche des toutes c'est terre et si je ne peux entrer un simple guérrier non plus ne le pourras pas et sans violence pour entrer.Elle commença à reparler au guarde.Je veux mes Geïsha tout de suite je n,attenderai pas un jour de plus.

[ Style, tu connais déjà mon nom ? ]

Takeo regarda avec un sourire narquois la demoiselle

-" Soit ... " dit-il

Aussitôt, il dégaina son sabre moyen et d'un geste félin se retourna vers le garde et lui porta un coup en plein dans la gorge ...

Egorgé comme un cochon, le garde mis quelques secondes à tomber à terre, se tordant dans sa dernière douleure. C'est l'autre qui cria comme un hérisson.

"GARDES !!! GARDES !!!"

Alors qu'il reculait pour se calfeutrer sous le fronton de la porte, et dégainer son sabre, une vingtaine d'autres gardes en armes apparurent. Ils formèrent un demi-cercle fesant face à Takeo, Setsuka et ses deux bushi...

"Bushi. En tuant l'un des notres, tu viens de signer ton arrêt de mort... Dame Setsuka, vous pouvez encore partir saine et sauve si vous le désirez, ou combattre et mourir."

Les deux Bushi de Daizaifu vinrent se placer devant leur chef. Elles la regardèrent un instant, lui conseillant de partir, puisque l'adversaire était supérieur en nombre...

Takeo eût un sourire heureux, et une lueure sadique dans les yeux, il fît craquer les jointures de ses doigts et de sa nuque, il dégaina vifement son "Jatô", la lame brilla d'un reflet vert, comme si un serpent se promenait le long du tranchant ... il mît son pied gauche en position d'appui, sa lame moyenne dans la main gauche et son "Jatô" dans la main droite ... Il ouvrît légèrement sa bouche, mais aucun son n'en sorti, seulement la langue qui passa délicatement le long de sa lèvre supérieur, lui donnant l'air d'un psychopate, et l'instant d'après il décolla et se mit à trancher les gardes en face de lui, enchaînant gardes sur gardes, dès qu'un tombait raide mort, un autre prenait sa place sous les lames tranchantes du puissant bushi, qui se mouvait tel le plus agile des félins et avec la férocitée des animaux sauvages les hargneux ...

Entre deux tranchement de gorges on entendit son rire sadique et une lueur verte émanant de son sabre maudit heureux de pouvoir gouté de nouveau au sang ...

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