Les Portes de la ville

Venez les filles nous n'avions pas l'intention de nous battre.

Et elles partirent dans la direction de Daizaifu.

[Edit Tsuki: Certaines actions, ou remarques (lol) étaient impossibles. Je les ai enlevées...]

Malgré sa fine lame et sa dextérité, Takeo fut vite submergé. Alors qu'il transperçait le thorax d'un des gardes, un autre lui passa sa lame d'entre sa cuisse. Takéo fut forcé de poser un genoux à terre.

Des archers arrivèrent en renfort. Ils se postèrent juste derrière la porte. Pour leur permettre de viser le perturbateur, tous les autres bushi se mirent à distance de deux mètres de Takeo, l'encerclant par le même temps...

Il avait tué une demi-dizaine de gardes, mais il pouvait sentir son heure arriver...

Takeo sentant que son heure arrivait se sentit piégé par la trame de la mort

* Quitte à mourir, autant en tuer le plus possible ... *

Lorsqu'il posa sa jambe touché par terre, son corps se calma d'un coup, il y eu un blanc, et les gardes hésitèrent devant leur adversaire qui arretait de se battre, les gardes les plus proche eurent tort, telle une bête sauvage il mit dans sa bouche son wakizashi le tenant fermement entre ses machoires, les gardes durent penser qu'il voulait se suicider, mais il en fut tout autrement, d'un geste vif et innatendu, Takeo se releva et continua a trancher de plus belle avec sa lame entre les dents et ses lames dans chaque mains ... il tua de nouveaux des gardes, lorsuqe une flèche le frôla, il se rendit compte que des archers le prenaient pour cibles ...

Une autre flèche le visa d'un gete vif, il trancha la flèche avec le sabre qu'il tenait entre les dents, ce moment d'inatention lui valut de perdre son sabre moyen, lui laissant une main libre, de cette main libre il attrapa au vol une flèche et la planta aussitôt dans un oeil du garde le plus proche, quelques instants plus tard, il ramassa en un éclair son sabre moyen tombé par terre, et lorsqu'il se releva il reçu une flèche à l'épaule ...
Il ouvrit la bouche, et cria d'une rage démoniaque, et se mit à trancher tant bien que mal, handicapé par sa blessure à l'épaule dont il retira aussitôt la flèche dans un gémissement de douleur ...

Le temps qu'il retire la flêche plantée dans son épaule, les bushi d'Asahikawa s'était de nouveau reculés. Une volée de flêche vint s'abattre sur Takeo. Il en reçu quatre dans le torse, une dans le bras qui retirait l'autre, et une autre dans la jambe déjà blessée.

Les gardes se mirent à tourner autour de lui en courant, fesant voler leurs sabres dans tous les sens, provoquant à Takeo milles et une éraflures sur son corps, et rompant les tiges des flêches qu'il serait impossibe de retirer, dès lors.

Takeo haleta :

-" Faut pas ... faut pas croire ... J'AI LA PEAU DURE !!! "

Il se releva tat bien que mal en criant, et chargea le premeir bushi venu et l'egorgea, mais ses reflexes et sa forme très affaiblis par les multiples blessures, ne le firent pas voir le lancier qui lui transperça le coeur ...

Takeo s'effondra par terre serrant contre lui son sabre maudit ... il était mort.

Elle se retourna en criant Non! Arreter! Puis elle courrue vers Takeo en pleurent.Puis elle commença à crier après les guardes mais eu ne pouvaient l'attaquer car elle étais une fille et qu,elle n'avait fait aucun crime.Êtes vous fou vous auriez pus l'emprisonner.Et elle parti en pleurant de cette mort imprévue.Noublier pas de l'enterrer et de fêter sa mort.

"Nous ne fêteront en aucun cas sa mort, puisqu'il s'en est pris au clan d'Asahikawa. Nous laisserons son corps en patûre aux loups, loin dans les marécages. Eloignez-vous !"

Plusieurs gardes vinrent arracher le corps de Takeo, il le portèrent à bout de bras pour l'emmener dans la lande boueuse. Takeo, mort sans famille, et sans honneurs, devient (comme convenu) un Gaki.

[Tu édite ta fiche de présentation, et tu recommence ton RP sur l'île des Gaki ! ^^]

Une nouvelle journée commençait. Deux Bushi gardaient les portes : l'un d'eux se nommait Kawada Unomatsu. La nuit précédente avait été longue : l'attaque inattendue de ce Bushi fou avait faucher un bon effectif dans les rangs des hommes du clan Asahikawa. Une flèche l'avait stoppé dans son élan, les autres l'avait abattues. Cette première flèche était partit de celui qui gardait actuellement la porte sud, c'est à dire Kawada. Et le Bushi espérait en tirer un quelconque bénéfice auprès de ces supérieurs. Mais l’heure était à la garde, et Unomatsu inspectait attentivement la route et les passants.

Un vieil homme apparu, à moitié courbé, s'appuyant sur sa cane, marchant lentement, il avait une barbe blanche. Il s'avançait lentement vers la porte close puis, se retourna vers le garde rêveur et lui demanda d'une voix calme :

-" Excusez-moi, jeune homme, pouvez vous m'ouvrir cette porte ? "

Unomatsu posa son regard oppressand et cynique sur le vieil homme et sans un geste lui déclara à haute et forte voix :

"D'où venez vous vieil homme ? Quel est votre clan ?"

-" Oh oh oh " rigola le vieil homme " Quelle vigueur et quel sens du devoir dans ce corps "

Le vieil homme ne bougea pas d'un centimètre, et regarda le bushi droit dans les yeux puis dit :

-" De clan ? je n'en ai pas, a qoui cela me servirait-il ? et d'ou je viens ? mhhh " refléchi le vieil homme tout en scrutant l'horizon " je viens de la-bàs" rajouta t-il en montrant du doigt la colline d'en face ou tronait une vieille batisse

-" Maintenant laissez-moi passer " dit-il d'un ton amusé

Unomatsu lança un regard à l'autre garde puis ils rirent bruyamment. Kawada reprit vite son calme puis avec un regard condescendant rétorqua :

"Négatif vieillard, les portes sont fermées aux étrangers, repart d’où tu viens et ne te frotte pas au clan Asahikawa ou bien tu finiras comme le dernier homme qui à essayez de nous forcer la main !"

Les yeux mi clos d'Unomatsu ne lâchaient pas le vieillard, tandis que l'autre garde se permit un sourire moqueur.

-" Oh ... et tu pense peut-être, jeune arrogant que tu es en mesure de me donner des ordres ? " répondit d'un ton sérieux le vieillard.

-" Tu es nouveau, cela se voit "rajouta le vieil homme

Sur cette phrase, le vieil homme s'avança vers la porte, et l'ouvrit ...

-" Pour ta gouverne, l'homme qui est mort ici il y a quelques semaines, valait bien plus que tes misérables compagnons et toi-même, on dit, que les kami lui ont fait un don, à sa mort, méfie toi qu'il ne revienne pas te ter toi et toute ta famille ... "

Le Bushi esquisa un sourire puis se pencha un peu pour arriver à la hauteur du vieil homme.

"J'en doute pas, mais sa c'est pas mon problème. Alors si vous vouliez bien nous laisser moter la garde je t'en serais reconnaissant."

Il se remit droit et regarda de haut la personne agé.

[HRP : Le coup du vieux qui se trouve êre un maitre en arts martiaux ou un grand homme caché en homme ordinaire je connais, merci d'éviter, j'aime pas ce qui est pas réaliste Evil or Very Mad

]

[ HRP : Rho tu gâche le supense là :d ]

Le vieil homme scruta le jeune bushi arrogant, puis lui dit :

-" Hmm ... jeune homme viens avec moi "

Il lui attrapa la manche et l'emmena dans Asahikawa ... juste après la porte il se retourna :

-" Toi ... au lieu de glousser, fait ton boulot ! "

L'aute bushi de garde ravala sa salive et répondit sérieusement :

-" Oui, Mitsuo-sensei "

Le vieillard dit sereinement au bushi qui l'accompagnait :

-" Tu ne peux pas savoir comment tu es passé pour ridicule auprès de ton collègue, tu peux être sûr, que dès ce soir, tu es la risé de ton corps de garde ... tu ne pouvais pas savoir "

[Effect médiocre et prévisible... tu perds pas une ocasion toi -_- ]

Le vieil homme voulut lui attraper la manche mais le Bushi défit son emprise d'un geste sec du bras.

*Cesse ta mascarade vieil abruti*

Le regard d'Unomatsu sur le vieillard était si oppressant et méprisant que nombreux auraient été ceux à trembler de peur. Il semblait mépriser et ignorer la hierarchie fondamental cependant il déclara :

"Du calme je vous suis puisqu'on ne peut travailler rigoureusement ici"

-" Du calme arrogant Bushi "

Le vieil homme emmena le jeune bushi au Dojô du clan Asahikawa, arrivé a l'entrée, un servante, s'agenouilla devant le vieillard :

-" Mitsuo-sensei, je suis heureuse vous revoir, vous êtes enfin revenu de votre méditation ?"

Le vieil homme gloussa et répondit avec une voix chaleureuse :

-" Eh oui, ma petite Kazuki, je suis revenu, il était temps " dit -il en jetant un regard au bushi derrière lui, puis il demanda à la jeune suivante :
-" Fait moi plaisir, ma petite, emmene du Thé dans la terrasse jouxtant la salle de combat cérémoniale ... "

-" Tout de suite, maître Mitsuo " repondit la jeune fille en s'inclinant

Le vieil homme regarda la jeune fille s'eloigné avec un petit sourire et dit au bushi :

-" C'est ma petite fille, elle a été très bien eduqué par ma fille, même si je suis de sa famille directe, elle m'apelle par mon titre ... "

La poigne de la main gauche du Bushi se renforça sur la poigné de son katana.

*Le thé ? La salle de combat cérémonial ? C'est pathétique ! Toute ces traditions font de l'ombre à la gloire et à la puissance martiale du Japon*

Aux paroles du vieillard, Kawada acquiesça froidement.

Ils entrèrent sur la terrase, et le vieu s'assit sur un oussin près de la table, il invita le bushi à s'assoir et lui demanda calmement :

-" Quel âge as-tu, jeune bushi ? "

La petite fille du vieil homme vînt apporter le thé et s'en alla tout aussitôt ...

Le Bushi s'assit, accompagné par le choc sonore de son armure. A genou, il déposa son katana à sa gauche et garda son wakizashi à la taille. Son arc dissymétrique, quand à lui, restait dans son dos.

"J'ai environ plus de trente ans."

Il laissa le thé devant lui, sans y toucher.

-" Je m'appelle Mitsuo Hirokaze, je suis le maitre instructeur des arts martiaux du clan Asahikawa ... et toi comment te nommes-tu ? " dit le vieil homme au Bushi ...

Il porta son thé a ses lèvres puis voyant que le bushi ne buvait pas il lui assura :

-" Ne t'inquiètes pas, le thé n'est pas empoisoné ... "

Le Bushi, après un regard méfiant, saisit de la main gauche une tasse de thé et la porta à sa bouche. Il la reposa completement vide et, en regardant le maître droit dans les yeux, déclara :

"Je suis Kawada Unomatsu. Que me voulez vous ?"

-" Je pensais t'entrainer un peu, vu que tu es nouveau, et ceci n'est pas discutable. " répondit Mitsuo.

Il bût d'un trait ce qu'il restait dans sa tasse puis se leva et alla dans la salle de combat que l'on voait de la terrasse. Il prit deux boken et en donna au bushi tout lui disant :

-" En garde petit "

Kwada saisit le boken. Alors que le maître était déjà en position lui attendait là toujours. Il tourna lentement son regard puis sa tête vers Hirokaze.

"Le dernier qui a voulut être mon maître en cette ville est mort..."

* en même temps c'était ton maître de calligraphie*

Sa pensée le fit rire. Un rire dément pendant que son visage était tourné vers le plafond. Puis le rire se transforma en rugissement, le rugissement en un puissant cri de combat. Unomatsu prit fermement son boken à deux mains, le plaqua contre son épaule droite et chargea le vieillard, tout en hurlant. Il porta un puissant un coup latéral au niveau de la taille de son adversaire et cela sans ralentir sa charge.

D'une parade simple, le maître para le coup du bushi sans problème, d'une vivacitée insoupsconée, le vieillard contre attaqua et posa son boken contre la gorge du guerrier. Le vieillard sourît et dit d'un ton amusé :

-" Tu es mort ... si cela avait été un vrai combat, avec de vrai sabre, tu serais mort petit. "

-" Une nouvelle attaque? " demanda Mitsuo

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